mardi 10 septembre 2013

E-réputation, Facebook
et le référencement naturel

L'avenir du référencement naturel : Facebook et e-réputation

Actuellement, les experts ne sont pas entièrement d'accord : les uns disent que l'e-réputation d'un site et de son créateur jouerait déjà un rôle décisif dans le référencement naturel. Les autres pensent qu'en Europe, les robots de Google ne toucheraient pas encore à ce sujet. Mais tout le monde est persuadé que "demain", au plus tard, l'e-réputation serait aussi importante qu'un bon contenu et un réseau correct de liens ciblant notre site.

Que, exactement, entend-on par "e-réputation" ? - Ceci est déjà une bonne question qui n'a jamais été répondue concrètement. En général, cette expression nouvelle se réfère à la popularité du créateur du site et à celle du site lui-même sur le Net. Ainsi, non seulement l'expression est nouvelle, mais aussi la conception, selon laquelle le site et sa qualité ne sont plus les seuls à entrer en jeu : pour la première fois, les moteurs s'intéressent également à la personne du créateur du site - ou à la personne qui signe en tant que créateur.

La meilleure possibilité de donner à un site une bonne e-réputation était, jusqu'à maintenant, de le faire cibler par un maximum de liens qui viennent de sites figurant déjà sur les premières pages de Google et qui traitent plus ou moins du même sujet. Mais il paraît qu'à l'avenir, cette technique ne sera plus suffisante. Il faut, selon les experts du référencement, qu'on parle de lui sur Internet...

... et non seulement de lui, mais aussi de son créateur. Et pour "parler de quelqu'un", il n'y a qu'une seule méthode : les divers réseaux sociaux. Partant donc du principe que, plus un site et son créateur ont des amis, plus ils reçoivent des "j'aime" et plus on partage leurs "posts", plus ils sont connus, donc "e-réputés".

Ces réseaux sociaux ne sont évidemment pas restreints à Facebook. Pour les professionnels, il est aussi important qu'on parle d'eux sur LinkedIn ou Viadeo. De beaux résultats sont également réalisés par Twitter - bien que les status sur Twitter soient extrêmement courts, ils sont lus !

"L'astuce" consiste alors à interpeller un maximum de personnes pour qu'ils deviennent "amis" - c'est-à-dire qu'elles s'inscrivent à notre compte ou à celui que nous avons créé spécialement pour le sujet de notre site, qu'elles cliquent le plus souvent sur "j'aime" et qu'ils partagent nos propos pour les rendre visibles à leurs propres amis qui les diffusent de leur côté.

A première vue, une tâche très simple. Or, les offres sur les réseaux sociaux sont si nombreuses qu'il ne paraît pas si facile d'inciter les gens à s'intéresser à ce que nous avons à dire. Et comme même les professionnels sur Linkeding ou Viadeo ont envie de s'amuser, il ne vaut pas la peine de se limiter au sujet de notre site. Les gens sont certainement contents de trouver des informations sur une bonne offre de vêtements ou un hôtel extraordinaire - mais pour les lire, il faut d'abord qu'ils nous ont "remarqués", c'est-à-dire qu'on a réussi à les attirer par notre esprit et bonne humeur.

Bien que l'e-réputation ne se limite pas à Facebook, il est peu probable que Google et les autres moteurs se concentrent dès le début sur des réseaux professionnels. L'idée, en ce moment, est alors de soigner d'abord notre compte Facebook, c'est-à-dire trouver un maximum d'amis et nous faire remarquer...

... ce qui est probablement le véritable "mot clé" qui explique le terme "e-réputation" : se faire remarquer. Et comme déjà pour le référencement, la question initiale est toujours la même : en quoi notre site mérite-t-il d'être classé par Google avant les autres - en quoi est-il différent ?

Bref, la consigne future pour tout référencement naturel, avec l'aide de l'e-réputation ou non, ne change pas : se faire remarquer si possible par sa qualité ainsi que par son originalité.
Copyright - Texte : Doris Kneller - Photo d'arrière-plan : Doris Kneller 

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